jeudi 4 octobre 2007

En route...

Jeudi 4 octobre 2007, 15h41, Montigny-le-Bretonneux. C’est en faisant quelques recherches sur la toile, que l’idée d’un nouveau projet vient de germer aujourd’hui. Aussi soudaine que fulgurante, elle s’est imposée à moi, aussi simplement qu’une évidence. Un nouveau projet. Oui. Ni plus ni moins. Tentant ? Oh que oui !!! Réalisable ? Sûrement. Difficile ? Plus sûrement encore que Pékin-Paris, c’est là aussi une évidence. Financièrement envisageable ? Tout l’est si on sait frapper aux bonnes portes me semble-t-il. On doit pouvoir apprendre de ses erreurs. En organisant Pékin-Paris 2007, nous avons commis quelques erreurs mais, assurément, nous savons lesquelles. Reste à ne pas les reproduire… je continue à lire, à peser silencieusement le pour et le contre. Je ne vois pas le contre au final. C’en est presque inquiétant.

15h49, je tente de joindre Élise. Sans succès. 15h52, je lui adresse un SMS dont la teneur, vous le comprendrez aisément, ne peut être dévoilée ici. 15h55, je reçois une réponse : "Ca dépend de votre idée de fou… j’ai hâte de savoir". 16h01, j’expose à Élise le projet en détail, toujours par SMS. 16h03, nouvelle réponse : "Oh… Alors là… ça me plait !".

Depuis quelques semaines, Élise et moi-même réfléchissions à la possibilité de monter un nouveau projet, ambitieux s’il en est, bien préparé si possible. Un gigantesque puzzle à assembler en somme. Pour se laisser le temps de bien faire les choses, nous misions sur 2009. L’idée est toujours d’actualité… mais avant, qui sait, il y aura peut-être quelque chose en 2008. Un petit quelque chose un peu à l’arrache sûrement mais dans la lignée du précédent, avec l’expérience en plus.

Qui vivra verra diront certains… pour moi, c’est tout vu.

Fabien

PS : le titre de l'article est aussi celui d'un livre de K.J. Huysmans. Je ne serais pas contre opposer l'immobilisme latent d'un titre comme "En rade" au mouvement naissant d'un autre comme "En route". Au moment où j'écris cet article, je l'espère tout du moins.

7 commentaires:

Anonyme a dit…

Pour ma part j'ai déjà ouvert une nouvelle boîte toute neuve...L'une n'est pas encore fermée qu'une autre prend forme. J'y ai déjà placé quelques pièces sans lesquelles rien ne s'envisage. Je suis ravie.
Comment faire plaisir à Elise?
Offrez-lui des boites de rêve.

Encore Merci à mon créateur de boîtes, j'ai nommé Fabien.
Elise

Anonyme a dit…

Là Fabien, tu en as trop dis ou pas assez et je pencherais plutôt pour le pas assez ... en effet, fais nous découvrir ton nouveau projet si mystérieux ... pour nous faire à nouveau rêver ...

Mike

Anonyme a dit…

bonsoir
oui fabien tu ne nous en dit pas assez on languit de connaitre ce projet qui nous fera rever que l on suivra autant que pekin paris
je pense qu avec cette nouvelle idee elise retrouve son moral et qu elle va se donner a fond comme toi d ailleurs
bisous a vous deux fred et bebert

Anonyme a dit…

Bon les copains: ça suffit! On ne va pas, une fois de plus, se croiser quelque part de façon éphémère... En avant-première (je n'ai pas peur de me mouiller): la «Petite» ne s'arrêtera probablement pas à Pékin... A-t-on le même projet, ou un similaire? Il est grand temps que les grands esprits se rencontrent une fois de plus, et pas juste une petite heure avec café et borscht... À bientôt donc, en profondeur!?

Steven - www.weinberg.lu

Anonyme a dit…

eh pas si vite,à peine revenus et déjà de nouveaux projets en vue bien sur reprendre pied dans le quotidien ce n'est pas simple,mais allez y doucement;
ceci dit encore bravo,le retour fut à la hauteur du voyage ,soirée inoubliable bisous
maman

Anonyme a dit…

Et bien Mamie, on n'est pas sortis de l'auberge (espagnole ou autre) !
Bisous
La cousine Laurence

Anonyme a dit…

Ah Beth! je te reconnais bien là!
Ouvrir des boîtes, ça ns ramène 25 ans en arrière, à Noël, une frénésie d'ouvrir les cadeaux.
Le contenu n'ayant,en définitive que peu d'importance, vite, il faut s'empresser d'ouvrir le suivant. Attention, Beth, n'oublies pas que Pandore était une femme."Dans la boîte de Pandore, seule reste l'espèrance".
Bises Papa